Pour une déconstruction du matérialisme spéculatif et de la théorie de la pratique (Marx, Althusser)

Clochard

L'étau idéologique du matérialisme spéculatif et de l'idéalisme

L’athéisme de Marx a souvent été mal compris. Marx soutient que la question d’une origine métaphysique de l’homme et de la nature peut seulement se résoudre pratiquement (praktisch). Il n’oppose pas pour autant sa propre thèse – le travail, essence de l’homme – au théisme. Il sait que l’athéisme négatif reste pris dans les rets de ce qu’il nie. On ne peut jamais choisir entre les contraires par essence solidaires. La critique de J.-M. Lepers est donc mal fondée : la pensée marxiste ne remplace pas « une métaphysique du Divin par une métaphysique du Travail et de la Production ». Marx tourne le dos à la métaphysique du principe de raison qui — Heidegger le dira dans ces termes — porte en lui l’arraisonnement productif. Marx ne confond pas le travail en tant qu’essence de l’homme (l’activité par laquelle celui-ci toujours socialisé crée un monde dans les limites de la finitude) avec la production métaphysique, devenir moderne de la poursuite spéculaire de l’infinité, qui rend étrangers à eux-mêmes aussi bien l’homme que le travail. Il y va ici du sens de l'être comme finitude que Marx inscrit au moins sur l'un des versants de son écriture ; lire la suite.

1.

Jean-Marc Lepers, La jouissance symbolique [Paris, Anthropos, 1978], p. 68.
 

Commentaire(s)

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bonjour, pour que lucidités soient équipées d'évidences où, comment monopoliser, je vous propose ces quelques repères, à méditer, où l'illimité même partout n'aura mené nulle part le monopole de la considération... le monopole de la concentration, l'extrême densité de tous les composants possibles avec uniquement le vide absolu comme environnement ; le monopole du centre, partout densité extrême illimité qui contient uniquement tout le vide absolu ; le monopole de la centralisation, partout densité extrême illimité qui contient uniquement tout le vide absolu devient partout densité extrême illimité sans vide ; le monopole de la déconcentration, partout densité extrême illimité sans vide ; le monopole de la décentralisation, le vide absolu partout

sincères salutations

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bonjour,

et finalement cette suite

Où l’illimité même ailleurs aussi selon partout de l’extrême densité avec uniquement le vide absolu éternel comme environnement, version du changement, un état inoffensif comme autres états inoffensifs. Commencement était l’extrême densité où uniquement le vide absolu éternel comme environnement, elle a été le monopole de la concentration ; elle restera pour avoir été l’origine extrême de partout et même, du vide absolu le plus illimité que possible du partout potentiel déjà même. Elle durât un temps qui restera n’avoir aucune importance et avait une forme qui restera aussi pour n’avoir aucune importance puisque aucun de ses composants ne pouvait y évoluer pour expérimenter quoi que ce soit. La seule chose qui pouvait alors se passer était, puisque elle avait uniquement le vide absolu éternel pour environnement, qu’elle soit évolution, c’est ce qu’il se passât. Le futur allait connaître les objets célestes comme morceaux détachés de ce monopole ainsi que d’autres plus subtils qui composent par exemple les pensées. Cette densité extrême où uniquement le vide absolu éternel comme environnement est l’un des deux extrêmes possible de partout (l’autre n’aura été le vide absolu partout et réalisé mais aura été le vide absolu le plus illimité que possible du partout potentiel), elle n’aura pu rester où quelque avenir que ce soit puisque elle sera resté infréquentable à cause de sa masse par quelque phénomène que ce soit et jusqu’à ce qu’elle n’existe plus du tout ; autre extrême de partout ne sera, la densité extrême illimitée partout sans le moindre vide qui aurait pu être le monopole de la déconcentration. L’évolution selon des monopoles extrêmes (le vide absolu partout et la densité extrême illimitée partout sans le moindre vide ou même la partout densité extrême illimitée qui contient tout le vide absolu, même éternel) n’aura pu être l’illimitée même expansion. La partout densité extrême illimitée qui contient uniquement tout le vide absolu n’y sera le monopole du centre. Le monopole du centre ne pourra être, ainsi que ce qui pourrait en découler car pour être il faudrait que le monopole de la concentration, l’extrême densité où uniquement le vide absolu éternel comme environnement soit référence éternellement récupérable en tant que centre originel pour tout phénomène et pour lui (le monopole du centre), ce qui restera éternellement impossible puisque le monopole de la concentration sera resté inaccessible pour quelque phénomène que ce soit. La partout densité extrême illimitée qui contient uniquement tout le vide absolu, le monopole du centre, n’aura été le résultat du mouvement vers son monopole pour que du monopole de la concentration la surface à l’intérieur du dit centre puisse se vérifier absolument vide avant le monopole de la centralisation qui n’aura transformé le monopole du centre en monopole de la déconcentration, la partout densité extrême illimitée sans vide, l’illimitée évolution possible uniquement où la fin du vide absolu pour partout.

Les phénomènes qui auraient pu être les plus puissants de tous resteront donc par l’origine, celle de l’extrême densité où uniquement le vide absolu éternel comme environnement qui aura aussi été celle du vide absolu le plus illimité, et même si même(s), aussi inoffensifs, car c’est le vide absolu le plus illimité selon partout qui restera être l’origine première de toutes possibles évolutions et de même où quelque monopole de déconcentration que ce soit, et qu’ils soient permanents ou impermanents ils resteront irremplaçables car tout est depuis pour la partout évolution qui restera la plus à même d’être la cause de tout avenir possible par opposition au vide éternel absolu partout exclusivement illimité et jusqu’à l’évolution de la notion de monopole de la déconcentration par la fin du monopole de la concentration.

L’origine du monopole de la concentration, l’extrême densité où uniquement le vide absolu éternel comme environnement n’aura plus pu exister où premier mouvement a fait différente densité. L’extrême densité où uniquement le vide absolu éternel comme environnement appartient obligatoirement au passé car si elle était à venir elle devrait à un moment s’être trouvée où tout le vide absolu est éternellement séparation entre deux densités extrêmes illimitées totalement indépendantes l’une de l’autre, ce qui sera resté absolument inconcevable pour un tel résultat. En outre, deux densités extrêmes illimitées totalement indépendantes l’une de l’autre ne pouront avoir existé car il faudrait que chacune d’elles soit absolument différente de l’autre mais alors l’une d’elle devrait être autre chose que de la densité et de la possibilité illimité, c’est à dire le vide absolu partout et de plus telle séparation ne pourrait donc être formée. L’extrême densité où uniquement le vide absolu éternel comme environnement ne pouvant être récupérable pour autre phénomène que depuis une vitesse qui serait due à un poids plus dense que celui de l’extrême densité où uniquement le vide absolu éternel comme environnement possible d’origine, sera resté d’abord l’exclusive référence de partout et pour chaque phénomène même si monopole du centre avait pu contenir exclusivement tout le vide absolu. La fin du monopole de la concentration commence où le premier détachement pour que illimité soit autre. Le monopole de la concentration, l’extrême densité où uniquement le vide absolu éternel comme environnement, aura été le seul seul phénomène qui ne soit éternel et l’ensemble du phénomène détaché de lui sera resté éternel.

La notion d’illimité restera pour chaque phénomène inhérente à toute forme d’évolution car où l’évolution pourrait lui opposer pour une entière transformation par origine absolue ce serait où moyen de l’extrême densité où uniquement le vide absolu éternel comme environnement, c’est à dire où moyen de l’équivalent de la partout mort absolue (l’extrême densité sans, le vide absolu éternel comme environnement) sinon du vide absolu partout, d’où n’auront pu résulter quoi que ce soit. L’infiniment gros sera resté surface extérieure pour tout ce qui n’est pas vide absolu et commence avec l’expansion du monopole de la concentration, l’extrême densité où uniquement le vide absolu éternel comme environnement.

Le monopole du centre, la partout densité extrême illimitée qui contient uniquement tout le vide absolu n’aura donc pu être et de ce qui aurait été où la première différence n’aura pu être et par expansion limitée ou illimitée, plus densité extrême que le monopole de la concentration selon la dernière différence illimitée pour que soit ou ne soit le monopole de la centralisation, la partout densité extrême illimitée qui contient uniquement tout le vide absolu qui devient la partout densité extrême illimitée sans vide, et le vide absolu contenu n’y sera autre par la surface intérieure qui resterait absolument lisse de l’infiniment petit pour que soit mouvement jusqu’à et de, la partout densité extrême illimitée sans vide. L’infiniment petit n’aura pu commencer où le monopole de la concentration, l’extrême densité où uniquement le vide absolu éternel comme environnement, n’existe plus du tout pour que de là la partout densité extrême illimitée sans vide, le monopole de la déconcentration, puisse être d’illimité et pour toujours plus dense car pour ce il faudrait que l’extrême densité où uniquement le vide absolu éternel comme environnement ait pu devenir encore plus dense une fois accomplie en tant que monopole de la concentration.

La partout densité extrême illimitée sans vide, le monopole de la déconcentration, n’aura été de la dernière différence illimitée qui aurait remplacé le dernier espace absolument vide pour être forme d’illimité différente par l’origine même. La partout densité extrême illimitée sans vide aurait été le seul phénomène à pouvoir créer le vide absolu partout... où partout n’aura mené nulle part le monopole de considération, la puissance, partout n’aura donc pu être expansion illimitée éternellement plus dense.

Conclusion, l’extrême bout unique restera du passé et ne pourra avoir été remplacé.

Ce qui tend à démontrer une expansion éternelle et illimitée des phénomènes.

sincères salutations

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Karl Marx - France Culture. Par Georges Charbonnier. Avec Louis Althusser, professeur de philosophie, et Émile Bottigelli, traducteur. Réalisation, Georges Gravier. 1ère diffusion : 13/03/1963.